Le terme Zero Trust vous est probablement familier. Ce n’est pas étonnant, ce concept s’impose dernièrement dans le paysage de la cybersécurité. Pourtant apparu il y a plus de dix ans, l’adoption grandissante du cloud et des architectures hybrides ces dernières années, ainsi que la récente démocratisation du télétravail poussent de plus en plus aujourd’hui les RSSI à se tourner vers ce modèle. 

Ce qui se cache derrière la notion de Zero Trust n’est pas une nouveauté en soi, puisqu’il s’agit in fine de réduire les risques. Ce qui a bel et bien changé, ce sont les infrastructures informatiques. En constante évolution, celles-ci sont devenues bien plus complexes, intégrant le cloud et les services SaaS. A cela, s’ajoutent l’évolution des comportements, l’utilisation de terminaux de plus en plus variés et un grand mix d’utilisateurs; autant de facteurs contraignant les responsables des SI à repenser leur stratégie de sécurité.  

Le Zero Trust vient donc challenger l’approche périmétrique de la sécurité et prône une approche centrée sur la donnée, pour être en mesure de la protéger, quel que soit l’endroit où elle se trouve. 

Mais comment intégrer le modèle Zero Trust aux SI existants ? Qu’implique concrètement ce changement de paradigme ? Est-il adapté à tout type d’organisation? Quelles en sont les limites ? Les défis à relever ? 

 

Pour mieux appréhender cette méthodologie et répondre à ces interrogations, nous avons rassemblé plusieurs experts lors d’une table ronde. Issus d’horizons différents, ces spécialistes ont partagé leur vision, leurs conseils pour bien l’appréhender et les bonnes pratiques pour l’appliquer au sein de l’entreprise. 

 

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